J’AIME L’OISE, une campagne de communication pour booster l’image du département
Afin de restaurer l’image du département de l’Oise, le Conseil départemental lance une campagne de communication pour valoriser le territoire et ainsi relancer l’économie locale durement touchée par la crise du coronavirus.
L’objectif est de porter un message positif, pousser la consommation locale pour soutenir les commerçants et faire découvrir ou redécouvrir l’Oise aux habitants comme aux touristes.
Le département invite ainsi tous les habitants et les partenaires à rejoindre un grand élan collectif pour donner une nouvelle dynamique en devenant des ambassadeurs ! Comment ? En affichant très clairement notre attachement au département grâce à un logo, en utilisant le hashtag #jaimeloise sur les réseaux sociaux, en participant à un concours photos etc.
Re-découvrons l’Oise
Consommons local
Ensemble, faisons vivre l’Oise
Oise Tourisme et les Offices de tourisme s’associent à cette initiative pour motiver plus que jamais les habitants et les touristes à consommer les richesses du territoire. Découvrez la carte interactive des lieux de visites et activités ouverts à ce jour dans l’Oise.
L’ensemble des professionnels du tourisme de l’Oise sont invités à télécharger le KIT complet de communication, à utiliser sans modération pour – Faire vivre l’Oise !
Plus d’informations sur la campagne
J’AIME L’OISE :
Bistrot de Pays : 5 bonnes raisons d’en avoir un dans son village !
Au début des années 1990, Bernard Reynal, le fondateur du concept, constate avec regret que tous les lieux de vie sociale de son village de Corrèze ferment les uns après les autres. Il imagine alors une action visant à réhabiliter ce haut lieu de convivialité des communes rurales. Pour lui la solution est claire : c’est l’union qui peut sauver le dernier commerce de son village.
C’est ainsi qu’est née la charte des Bistrots de Pays, ces commerces ruraux qui sont la plupart du temps les seuls point de service de proximité au sein des villages : café, restaurant, boulangerie, relais de poste….
Il y a de nombreuses raisons d’avoir un Bistrot de Pays dans son village, intéressons-nous à 5 d’entre elles !
1. Le Bistrot, dans le cœur des Français
Les Français sont très attachés au bistrot. S’il y en avait 600.000 en France en 1960, il n’en restait que 34.669 en 2016. Aujourd’hui, 26 000 communes en France n’ont plus de cafés alors que les établissements CHR (cafés, hôtels, restaurants) sont au cœur de l’écosystème des villages : ils sont créateurs d’emplois et de lien social, ils animent la vie du village, ils favorisent le déploiement d’une offre culturelle, ils participent à l’attractivité touristique des territoires, etc.
Leur rôle, essentiel dans le développement économique et social des territoires, est aussi largement reconnu par les Français.
- 90 %* des Français pensent que dans une commune rurale, la présence d’un CHR contribue à la vie économique et au lien social.
- Pour autant, ces commerces ne semblent pas toujours faciles à trouver : 68% des Français affirment avoir déjà eu des difficultés à trouver un hôtel, 54% un restaurant et 43% un café.
Enfin, 85%** des Français pensent que les municipalités devraient accompagner davantage l’installation ou le maintien de cafés dans les communes rurales.
* Selon un sondage IFOP pour l’UMIH, réalisé en mars 2018 auprès de 1012 personnes représentatives de la population française.
** Selon un sondage IFOP de 2014


2. Un lieu unique de rencontre et de lien social
La convivialité, l’authenticité et la solidarité sont les maîtres mots de « l’esprit Bistrot de Pays ».
Pour une collectivité, avoir un Bistrot de Pays dans son village, c’est apporter un service de proximité aux habitants et capter une clientèle extérieure. En zone à faible densité de population, cette mixité de clientèle est un gage de réussite pour le commerçant qui souhaite ouvrir à l’année.
Les Français plébiscitent la présence de services leur facilitant les échanges (accès wifi, distributeur d’argent, relais poste etc.), ou la possibilité de trouver des produits locaux. La vente de produits du tabac ou des jeux à gratter apparaît comme un service secondaire à proposer.
Quelques chiffres issus d’une étude réalisée en 2019 :
- 27% des bistrots proposent de l’hébergement
- 38% un service d’épicerie
- 33% un dépôt de pain
- 70% proposent la presse quotidienne régionale
- 81% met à disposition un service internet
Le Bistrot de Pays est la « dernière lumière allumée dans le village ».


3. Un moyen d’animer son village toute l’année
Le Bistrot de Pays a pour but, à travers un réseau local d’animation, de
contribuer à la conservation et à l’animation du tissu économique et social en milieu rural par le maintien – ou la recréation – du café de village multiservices de proximité.
Avoir un Bistrot de Pays dans son village, c’est offrir à ses habitants et visiteurs des animations régulières, des moments festifs et solidaires.
Tout au long de l’année, le réseau Bistrot de Pays met en place, avec les bistrotiers, une programmation événementielle : temps forts à la Saint-Valentin, Noël, Fête du village, Pâques, Fête des Mères, organisation de concerts au bistrot, participation au Marché Fermier de l’Oise à Beauvais ou encore plus récemment dans le cadre de la crise du Covid-19, la mise en place de repas gratuits pour les soignants ainsi que des plats et menus à réserver et à emporter. Le réseau est dynamique et participe activement à la vie du village !


4. Une source d’emploi stable en milieu rural
Près de la moitié des propriétaires des murs des Bistrots de Pays sont des collectivités publiques.


Chaque Bistrot de Pays représente 2 à 4 ETP. Ces salariés (chef, service en salle, commis, apprenti…) résident dans la commune ou à proximité.
Il faut savoir aussi que l’une des valeurs maîtresses est l’utilisation de produits locaux en cuisine. Nombre d’entre eux s’approvisionnent auprès de producteurs locaux ou de plateformes de diffusion de produits agricoles comme Marché Hauts-de-France SAS à Compiègne par exemple.


5. Un chiffre d’affaires comparable à la moyenne nationale
L’appartenance au réseau des Bistrot de Pays permet l’accroissement du chiffre d’affaires (+10 à 30 %). C’est un vecteur de flux générant des retombées économiques pour la commune.


Vous êtes une collectivité locale intéressée
par le réseau des Bistrots de Pays ?
Vous aimeriez davantage d’informations ?


Rapport d’activités 2019
Découvrez le rapport d’activités 2019 de l’Agence Oise Tourisme.
- Sur quoi mettons-nous nos ressources humaines et budgétaires ?
- Chronologie des faits marquants 2019
- Bilan de la mise en oeuvre de la feuille de route 2019
- Zoom sur nos 2 processus opérationnels Accompagner et Promouvoir-Communiquer : les interventions de l’Agences (chiffres clés, cartographie, satisfaction client), les retombées presse France et Belgique.
Bonne lecture !
Covid-19 : 5 actions à mettre en place pour gérer vos réservations et communiquer face à la crise
C’est pourquoi nous vous proposons au travers de cet article 5 actions à mettre en place pour gérer efficacement vos réservations ainsi que la communication avec vos clients pendant et après le Covid-19.
1. Informer vos clients de la situation
Sur la page d’accueil de votre site Internet ou sur une page dédiée






Expliquez clairement à vos clients la situation, en les informant sur les dates de fermeture de votre établissement, la politique exceptionnelle de remboursement, d’annulation et de report que vous avez mise en place, tout en faisant preuve d’empathie.
Extrait d’un mail adressé aux clients du Domaine du Val dans la Somme, en cas d’annulation :


2. Gérer vos réservations en préservant la relation client
Il est, en effet, essentiel de ne pas décevoir vos clients dans la prise en charge de leur dossier. Un client mécontent risque de le faire savoir sur les réseaux sociaux et de nuire à l’image de votre entreprise. Faites le maximum pour préserver votre réputation en ligne.
La jurisprudence a tranché, il s’agit d’un cas de force majeure. S’il est légitime que votre client demande à être remboursé, il ne peut cependant pas vous demander de dommages et intérêts. Il n’en reste pas moins que l’impact sur votre business est considérable. Il est, donc très difficile, voire impossible, de rembourser intégralement toutes vos annulations.
Quelle stratégie de réponse mettre en place ? Cela dépend de la période de réservation :
- Pour les séjours réservés durant la période de confinement (avant fin avril) : essayez d’éviter l’annulation en proposant une alternative à votre client
- Proposez à votre un client un report de son séjour grâce à un avoir ou un bon cadeau, valable sur un ou deux ans.
- Pour convaincre votre client, n’hésitez pas à faire un geste commercial : un sur-classement, le petit-déjeuner offert, un accès gratuit à l’espace balnéo…
- Votre client souhaite annuler malgré tout ? Afin d’éviter une mauvaise publicité pour votre établissement, nous vous conseillons de le rembourser intégralement.
- Pensez à fermer tous vos plannings jusqu’à la fin de la période de confinement, pour éviter de devoir gérer de nouvelles annulations.
Pour les séjours réservés après la période de confinement (après fin avril) : rassurez votre client !
Selon Jérôme Forget,
fondateur du cabinet de conseils Guest and Strategy :
« Pour le moment nous n’avons aucune visibilité donc vous pouvez faire valoir vos conditions d’annulation en appelant là encore au respect et à une certaine solidarité nationale évitant un péril économique. A ce stade, il est prématuré d’annuler son séjour que ce soit sur avril ou encore sur mai et surtout dangereux pour toute notre économie touristique. Rassurer cependant vos clients en indiquant que vous adapterez votre politique d’annulation en fonction de l’évolution de la situation. »
Conservez donc pour le moment vos conditions normales d’annulation, en indiquant à vos clients que vous leur apporterez une solution adaptée en fonction de l’évolution de la situation.
3. Communiquer sur votre flexibilité
Possibilités d’affichage :
- Sur la page d’accueil avec un bandeau déroulant par exemple
- En fin de présentation de votre offre avec un bouton cliquable « réserver » juste après
- Sous forme de liste à puces listant vos conditions flexibles placée au niveau de vos tarifs et/ou moteur de réservation
Quelques exemples :






4. Continuer de faire rêver les internautes
Parce que vos clients espèrent pouvoir partir malgré tout !
Les voyageurs les plus « téméraires » espèrent encore pouvoir partir sur les ponts de mai (de plus en plus compromis certes !) et 86 % des Français souhaitent partir en vacances cet été.
Parce que vos clients sont très connectés en ce moment :
Selon Google et d’autres compagnies spécialisées dans l’analyse des trafics internet, les clients continuent leurs recherches de séjours et de bons plans. Avec les mesures de confinement, ils ont clairement « du temps à tuer » sur les réseaux sociaux et sites en tout genre.
Parce que vos clients ont besoin de rêve et d’évasion :
En cette période difficile, les réseaux sociaux sont également un moyen de « voyager virtuellement ». Evitez de communiquer sur l’épidémie, partagez du contenu positif qui fera du bien à votre client et l’aidera à se projeter ses prochaines vacances.
Restez positif dans votre discours ! Evitez si possible toute référence à l’épidémie. Communiquez plutôt sur la qualité de votre offre et de vos prestations. Il est difficile d’anticiper les comportements des clientèles dans les prochains mois. Cependant, il est certain que la crise actuelle va accentuer les tendances sociétales qui ont émergé ces dernières années.
5. Proposer des bons cadeaux
Vous avez plusieurs possibilités pour en générer avec paiement en ligne intégré :
- Directement depuis votre moteur de réservation s’il le permet (Elloha, Open Expériences)
- Via une solution externalisée (comme Cap Cadeau).


Plus d’informations sur l’accompagnement marketing digital spécifique,
lié à la gestion de la crise du Coronavirus Covid-19 :
5 tendances « Bien-être » pour 2020
9 français sur 10 éprouvent du stress au quotidien et 38% d’entre eux, estiment que leur niveau de stress a augmenter sur les 3 dernières années. Les conséquences ? Problèmes de santé (nervosité, trouble du sommeil) et de comportement (tension familiale, au travail etc.).
Le bien-être est à nouveau au cœur des préoccupations des français pour 2020. Aussi, nous avons souhaité au travers de cet article, vous donner 5 tendances que l’on observe dans le tourisme de bien-être.
1. SE RECONNECTER A LA NATURE
En mode digital detox ! Hyper-connexion, sollicitation permanente via les réseaux-sociaux, le mails… (un français passe en moyenne 5h par jour sur Internet).
Il y a le besoin de « débrancher », de faire une coupure, un « break » ! Profiter de la campagne, faire des activités au grand air.
Ça donne quoi dans l’Oise ? une promenade en forêt, une nuit dans une cabane, une visite à la ferme en famille…


2. MANGER LOCAL
Les voyageurs font de plus en plus attention à ce qu’ils mettent dans leur assiette. Ils consomment des produits frais et de saison, idéalement bio (prise de conscience écologique).
Ça donne quoi dans l’Oise ? Ils vont privilégier les restaurants où la cuisine est « fait-maison », ils achèteront leurs produits sur le marché ou directement auprès des producteurs.


3. PRENDRE SOIN DE SOI
Des journées biens remplies (charge mentale), les embouteillages quotidiens, sans parler de la pollution pour les citadins… Il est urgent de ralentir le rythme et de se faire plaisir !
Ça donne quoi dans l’Oise ? Une séance de spa en amoureux ou entre copines, un cours de yoga en forêt, prendre le petit-déjeuner au lit à l’hôtel.


4. PARTAGER DES MOMENTS CONVIVIAUX
Les touristes en 2020 ont envie de se retrouver en couple, en famille ou entre amis mais aussi de rencontrer, échanger avec des « locaux ». Ils accordent une grande importance à l’accueil et à la relation qu’il pourront entretenir chez leurs hébergeurs mais aussi dans les différents lieux touristiques. Aussi, ils veulent ressentir l’atmosphère, l’ambiance du lieu où ils se trouvent, afin de pouvoir se construire une expérience mémorable.
Ça donne quoi dans l’Oise ? Profiter d’un dîner en table d’hôtes, suivre une visite guidée avec un guide passionné, prendre le temps de discuter avec les habitants


5. VOYAGER DE MANIERE PLUS DURABLE
Volonté de limiter son impact écologique. Voyager plus proche de chez soi (éviter l’avion). Privilégier les transports en commun ou les modes de transport doux. Choisir des destinations moins fréquentées, moins connues, dans le but de réduire le tourisme de masse et de protéger l’environnement.
Ça donne quoi dans l’Oise ? Utiliser le vélo pour relier par exemple Compiègne et Pierrefonds, découvrir les petits villages pittoresques moins connus comme Vieux-Moulin, Saint-Germer-de-Fly ou Saint-Martin-aux-Bois.


Etude éco & profil clients de l’Oise 2019
Oise Tourisme a lancé en 2019 une étude sur les retombées économiques du tourisme dans l’Oise et sur les profils des clientèles actuelles.
L’objectif ? Nous éclairer sur plusieurs interrogations : Quel est le poids du tourisme dans l’Oise ? Qui sont nos clients ? Comment se comportent-ils ? Sont-ils satisfaits ? pour mieux orienter la stratégie touristique de l’Oise.
Avec 6,4% des emplois, le tourisme est une économie à part entière !
4 principaux chiffres à retenir


Quels en sont les principaux enseignements ?
Les excursionnistes, une clientèle dominante
L’étude nous révèle qu’ils sont 9 millions d’excursionnistes à venir sur le territoire.
Majoritairement Français, ils proviennent essentiellement de l’Ile de France et des Hauts-de-France. Ils représentent 55% des dépenses de consommation.
Et surtout, on constate que ces excursionnistes reviennent souvent dans l’Oise (70% d’entre eux sont déjà venus). Ils sont donc essentiels à l’économie touristique du département.
2 types de clientèles composent le tourisme dans l’Oise
Le tourisme dans l’Oise se caractérise par deux profils de visiteurs très segmentés : d’un côté, la clientèle des parcs de loisirs (en famille et/ou entre amis, excursionnistes et souvent déjà venus) et de l’autre, celle des lieux culturels et patrimoniaux (en couple, en séjour touristique et souvent primo-visiteurs).
Nous avons donc là, les deux principales motivations de visites : le patrimoine et les parcs d’attractions.
L’hébergement non-marchand assure un rôle clef avec 60% des nuitées
1.5 million de visiteurs de l’Oise séjournent dans la famille, chez les amis ou en résidence secondaire.
Ces visiteurs résident en moyenne deux fois plus longtemps que les visiteurs en hébergement marchand.
Les habitants de l’Oise, en tant qu’hébergeur, jouent donc un rôle primordial dans la consommation des restaurants et des lieux de visites ou d’activités.
Un bon niveau de satisfaction globale des visiteurs
Le niveau de satisfaction général observé est satisfaisant ; les visiteurs accordent une moyenne de 8.5/10 à la Destination Oise.
Plus finement, on observe une perception proche de l’excellence côté « beauté des forêts », « accueil dans les offices de tourisme » ainsi que « beauté des villes & villages ».
Il reste cependant à progresser sur le fait que notre offre puisse générer le sentiment de vivre des expériences uniques – entendons par là l’effet « Waouh ».


Quels axes de progrès pour le développement touristique de l’Oise ?
Conforter la clientèle d’excursionnistes tout en augmentant leur consommation sur place. Cela peut passer par des actions de fidélisation ou des avantages accordés aux clients les plus fidèles. Pour la clientèle type « culturelle », l’enjeu serait plutôt de faciliter la déambulation pour développer les occasions de consommer : enjeu de signalétique, d’aménagement urbain, de valorisation des produits identitaires…
Créer des passerelles entre les deux types de clientèles, toujours dans le but de développer les consommations. L’enjeu serait d’inciter les familles venues dans les parcs d’attractions à revenir pour consommer les sites de visite ou les lieux d’activités, à l’occasion d’une nouvelle escapade. Pour réussir ce challenge, il conviendrait d’inciter les parcs d’attractions à promouvoir les lieux touristiques environnant, à condition que ceux-ci proposent un bon niveau d’expérience client.
Toucher les visiteurs en séjour chez les amis ou en famille par le biais des habitants. L’idée serait de mettre en place des stratégies de type « ambassadeur » à l’échelle départementale ou des destinations infra-départementales. L’habitant deviendrait alors le prescripteur de son territoire. Le deuxième enjeu serait de mobilier plus fortement d’autres « accueillants » type restaurateurs, pour développer le tourisme local.
Développer l’accueil des clientèles étrangères de proximité. On constate une part des clientèles étrangères relativement faible au regard du potentiel. L’objectif serait de toucher les clientèles étrangères de proximité, notamment Belges, par des actions push vers les relais d’opinion et les distributeurs de produits de « niche » (vélo,…), en complément d’actions de conquête des clientèles étrangères basées sur Paris.
Vous avez un projet touristique dans l’Oise et avez besoin de données précises sur un secteur géographique en particulier, une période définie ou autre… contactez Céline BAUDOUX pour en discuter et voir ensemble quelles données pourraient vous être utiles !